LES PLUMES DE LA PAIX
Tant de larmes ont coulé
Sur ce sol étranger
En une vision d’horreur
S’assombrit la Cité.
Que d’enfants innocents
Que de femmes soumises
Virent leur sort chaviré
Au sein de la Cité.
Cruelle métamorphose
De sourires à trépas
Leurs yeux se sont fermés
Au cœur de la Cité.
Il pleut larmes de sang
Au milieu du carnage
Où gisent massacrés
Ces gens de la Cité.
Les armes se sont tues
Et de glace ont figé
Les corps étendus
Silence règne en Cité.
Combien de temps encore
Devrons-nous supporter
La guerre et ses tourments
Il est temps de crier.
Depuis la nuit des temps
Guerres explosent en ce monde
Causant tant de victimes
Catastrophes immondes.
Que colombes par milliers
Survolent nos contrées
Déposant sur la Terre
Les plumes de la PAIX.
Marie-Hélène COPPA